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­Catherine

Catherine

Le vertige du néant

Lorsque la première vague de la pandémie a frappé, l’agenda de la comédienne Catherine est devenu un archipel de plages désertes.

­Catherine

« Il n’y a aucun de mes projets qui a pu se poursuivre, tout a été annulé. C’était comme une espèce de néant, de passer à rien, d’avoir l’impression de ne servir à rien. Et de cette impression est né le sentiment qu’il fallait faire quelque chose, je n’étais pas bien dans ce néant. »

Alors elle s’est remise en mouvement. L’idée lui est venue par l’entremise de deux amies, comme un murmure dans le silence : donner un coup de fil à un inconnu, échanger quelques mots, lui lire un texte.

La graine a germé et les mains d’artistes d’un peu partout se sont levées : 325 artistes et 2 500 lectures plus tard, Catherine a le sentiment d’avoir accompli du beau et du bien.

Et son regard s’est tourné vers Quaqtaq. Ce petit village du Nunavik où elle avait fait des ateliers de création théâtrale avec les élèves, d’où elle était partie en disant « à l’année prochaine ». Elle n’y est pas retournée… pas encore.

Lire le portrait complet de Catherine dans le magazine GF

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