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L’éducation

L’enseignement secondaire

  • À la formation professionnelle offerte à l’enseignement secondaire, les filles se concentrent dans deux domaines d’études (dans celui de l’administration, du commerce et de l’informatique et dans celui de la santé), alors que les garçons se répartissent dans une plus grande variété de domaines12.
    Inscriptions à la formation professionnelle pour l’année scolaire 2016-2017, Québec. Réfère à l’élément en cours.
  • L’écart entre le taux de diplomation et de qualificationIV des filles et celui des garçons se rétrécit entre 2015 et 201613.
    Taux de diplomation et de qualification des élèves, sept ans après leur entrée au secondaire, Québec, 2015 et 2016. Réfère à l’élément en cours.

IV Le taux de diplomation et de qualification renvoie à la proportion des élèves (formation générale des jeunes, éducation des adultes et formation professionnelle réunies) qui, avant l’âge de 20 ans, ont obtenu un premier diplôme ou une première qualification cinq ans, six ans ou sept ans après avoir commencé leurs études secondaires.

L’enseignement collégial

  • En 2017-2018, 57,5 % des effectifs étudiants du collégial sont des filles. En 2016-2017, elles en représentaient 57,7 %12. En formation technique, cette proportion atteint 59,2 % en 2017-2018.
  • Les femmes représentent 60,7 % des personnes diplômées du collégial en 201612.

  • Les inscriptions à la formation technique reflètent les domaines d’exercice traditionnels des filles et des garçons12.
    Principaux secteurs de formation technique au collégial selon le sexe, Québec, 2017-2018.

L'enseignement universitaire

  • Comme l’année précédente, 58,3 % des effectifs étudiants du premier cycle universitaire sont des femmes en 2016-201712.
  • Au premier cycle universitaire, les femmes sont majoritaires dans tous les domaines d’études, sauf en sciences appliquées12.
  • En 2016, 57,4 % des nouveaux diplômés du premier cycle universitaire sont des femmes12.
  • Au deuxième cycle, 56,5 % des nouveaux diplômés sont des femmes, alors qu’elles représentent 48,1 % des diplômés du troisième cycle12.
    Répartition des nouveaux diplômés, de deuxième et de troisième cycles, ensemble des universités, Québec, 2016. Réfère à l’élément en cours.
  • Les femmes sont plus nombreuses que les hommes à détenir un grade universitaire. En 2016, dans la population âgée de 25 à 64 ans, 28,0 % des femmes et 23,0 % des hommes sont titulaires d’un grade universitaire14.
  • Effectif étudiant au premier cycle universitaire, selon le sexe et le domaine d’études, Québec, année scolaire 2016-2017.
  • Dans la population âgée de 25 à 64 ans en 2016, 5,6 % des femmes et 5,3 % des hommes sont titulaires d’une maîtrise à titre de plus haut niveau de scolarité atteint. Dans le même groupe d’âge, 0,8 % des femmes sont titulaires d’un doctorat, comme 1,1 % des hommes14.

Les femmes sont plus nombreuses que les hommes à détenir un grade universitaire. En 2016, dans la population âgée de 25 à 64 ans, 28,0 % des femmes et 23,0 % des hommes sont titulaires d’un grade universitaire.

  • Quel que soit leur niveau d’études, les femmes reçoivent, à leur entrée sur le marché du travail, un salaire moyen inférieur à celui des hommes. Par exemple, en 2017, le salaire hebdomadaire des femmes ayant obtenu un baccalauréat en 2015 et travaillant à temps plein correspond à 89,5 % de celui de leurs homologues masculins. Chez les titulaires de maîtrise, cette proportion se chiffre à 88,5 %15.
    Salaire hebdomadaire brut des personnes ayant diplômé en 2015 et travaillant à temps plein, Québec, 2017. Réfère à l’élément en cours.