Le Conseil du statut de la femme (CSF) est composé de dix membres, en plus de la présidente. Celle-ci en dirige les activités ainsi que les travaux. Elle assure également la liaison entre le Conseil et la ministre.
Les membres du CSF, issues de différents secteurs d’activité de la société québécoise, sont désignées par le gouvernement du Québec. Avec la présidente, les membres se prononcent sur les avis et les recommandations que le Conseil doit formuler au gouvernement.
Avocate et gestionnaire d’expérience, Me Louise Cordeau est une communicatrice aguerrie. Elle possède de solides compétences, notamment en matière de réflexion stratégique et de développement organisationnel.
Me Louise Cordeau a débuté sa carrière en exerçant le droit en pratique privée pendant huit ans à Saint-Hyacinthe. Par la suite, elle a été directrice de cabinet du président de l’Assemblée nationale du Québec en 1994, puis du ministre des Affaires intergouvernementales canadiennes et de la Réforme des institutions démocratiques, en 2002.
Elle a acquis une expertise de pointe dans l’industrie des médias, D’abord en occupant la fonction de directrice de Radio-Canada – Québec, pour la télévision, radio et Web de 2004 à 2010. Puis le poste d’éditrice et de chef de la direction du Journal de Québec chez Québecor Média inc. en 2012. Elle est d’ailleurs la première femme à avoir occupé ce poste depuis la création du journal en 1967.
En plus de soutenir de nombreuses œuvres philanthropiques, Me Cordeau a été membre du conseil d’administration de la YWCA Québec et du Comité sur les femmes dans la profession du Barreau du Québec et de l’Association des femmes entrepreneures du Québec. Autant d’engagements qui témoignent de son dévouement de longue date à l’avancement de la cause des femmes.
Très investie dans la communauté, Me Cordeau possède une connaissance approfondie du milieu des affaires, politique, culturel et social. Elle s’est impliquée dans plusieurs campagnes majeures de financement (Université Laval, CHU de Québec, Fondation sourdine, etc.). Elle est ambassadrice du Monastère des Augustines et de la YWCA.
Elle a également cofondé en 1991, l’école primaire La Petite Académie de Saint-Hyacinthe. Parmi ses distinctions, elle a été faite chevalière de l’Ordre national du Mérite français en 2008. Elle a reçu également la reconnaissance de Femme de mérite de la YWCA dans la catégorie Affaires et profession en 2009. Le 20 juin 2019, elle a été nommée chevalière de l’Ordre national du Québec, la plus prestigieuse reconnaissance décernée par l’État québécois. Une distinction qui souligne tant son parcours professionnel que son engagement social exceptionnel.
En septembre 2020, Me Cordeau s’est vu remettre la Médaille du Conseil du Barreau de Québec. Une distinction qui lui a été accordée pour souligner les valeurs de justice, de rigueur et de vision pour la société québécoise qui ont jalonné sa carrière, mais également son engagement social et philanthropique.
Depuis février 2017, Me Louise Cordeau est présidente du Conseil du statut de la femme.
Iris Almeida-Côté, ICD.D/IAS.A., IIA-CGAP., LL.M., M.A., est présidente et cheffe de la direction d’INNOVACONNECT inc. qui offre de l’accompagnement en leadership, en gestion du risque, en cybersécurité, en audit et en gouvernance aux chefs d’entreprises, aux PME, aux établissements universitaires et aux organisations des communautés autochtones. Juriste de formation, elle possède une solide expérience en communication stratégique et en développement de partenariats nationaux et internationaux. Elle s’exprime couramment en français, en anglais, en espagnol et en hindi.
Administratrice de sociétés agréées (IAS.A/ICD.D) à la Rotman School of Management de l’Université de Toronto, Iris Almeida-Côté détient aussi une maîtrise en droit international (LL.M.) de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), une maîtrise ès arts en sociologie et un baccalauréat ès arts en économie et sociologie de l’Université de Bombay. De plus, elle a perfectionné ses connaissances en suivant des formations spécialisées en management à l’Université McGill, en gouvernance des services financiers des sociétés au Collège des administrateurs de sociétés à l’Université Laval, en gouvernance des établissements de santé à l’Association québécoise d’établissements de santé et de services sociaux, ainsi qu’à l’Institut des auditeurs internes (IIA-CGAP).
En 2018, Iris Almeida-Côté a été nommée membre du comité d’audit ministériel de l’Agence spatiale canadienne par le Contrôleur général du Canada. Elle est membre du Conseil du statut de la femme et la présidente des comités finance et audit au conseil d’administration de l’organisme Relations publiques sans frontières. Elle siège également au conseil d’orientation de l’Institut d’études internationales de Montréal à l’UQAM. En octobre 2019, elle a été élue membre du conseil d’administration de l’organisation sans but lucratif connue sous le nom d’Autorité canadienne pour les enregistrements Internet.
Depuis trente-cinq ans, Iris Almeida-Côté dirige des organisations gouvernementales, non gouvernementales et privées. Elle a été directrice générale de la Société royale du Canada, présidente et cheffe de la direction de Jeunesse Canada Monde, présidente et cheffe de la direction de l’Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux, directrice des politiques et programmes du Centre parlementaire Droits et Démocratie et directrice des programmes à Partenariat Afrique Canada. Sur le plan international, elle a agi à titre de secrétaire générale adjointe de la Coopération internationale pour le développement et la solidarité à Bruxelles et de présidente du Mouvement international des étudiants catholiques à Paris.
Reconnue pour son dévouement, son audace et son innovation, parmi ses nombreuses distinctions, Iris Almeida-Côté a remporté à deux reprises le prix Top 100 : Les femmes les plus influentes au Canada en 2008 et en 2011. De plus, elle a reçu le prix Women of Excellence en gestion des risques financiers du Forum économique des femmes, le prix Reconnaissance UQAM pour l’excellence et la réussite, le prix Passeport PME de la Caisse de dépôt et placement du Québec et la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, le prix Femme de mérite de la Fondation Y des femmes de Montréal, et le prix Excellence du Réseau des Femmes d’affaires du Québec.
Détentrice d’un baccalauréat en orthopédagogie de l’Université de Montréal et d’une maîtrise en administration publique de l’ENAP, Hélène Bourdages travaille dans le secteur de l’éducation depuis plus de 30 ans. D’abord enseignante au secteur des adultes handicapés visuels, puis directrice adjointe et directrice d’établissement scolaire au primaire et au secondaire, elle œuvre depuis longtemps dans la réussite éducative des élèves.
Présidente de l’Association montréalaise des directions d’établissement scolaire (AMDES) de 2014 à 2020, elle a représenté 650 directions d’école et de centres de formation auprès des trois centres de services scolaires francophones de l’île de Montréal, du gouvernement du Québec et des médias, ainsi qu’à l’international lors de colloques en Europe et en Afrique du Nord.
Depuis mai 2021, elle occupe le poste de directrice générale du centre de la petite enfance (CPE) Les Bonheurs de Sophie, comptant deux installations dans les Laurentides. Elle est également présidente de l’association patronale des CPE des Laurentides (APCPEL), regroupant 15 CPE de la région.
Athlète d’élite, Hélène Bourdages a représenté le Canada en escrime aux Jeux olympiques de 1992.
Experte en entrepreneuriat, plus particulièrement en entrepreneuriat féminin, Déborah Cherenfant s’est jointe à l’équipe du Groupe Banque TD en 2020 en tant que directrice régionale, Femmes entrepreneures, Région du Québec.
Depuis son arrivée au Québec, en 2005, Déborah Cherenfant multiplie ses engagements bénévoles et s’implique principalement aujourd’hui à titre de présidente de Compagnie F, entrepreneuriat féminin, et d’administratrice de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, de la fondation KANPE, active en Haïti, et d’Humanov‑is, organisme qui œuvre en innovation sociale. En 2018, elle a été nommée par le Conseil des ministres au Conseil du statut de la femme du Québec.
Diplômée en économie internationale et en entrepreneuriat, Déborah Cherenfant a mis à profit ses compétences stratégiques au cours des 10 dernières années en services-conseils au démarrage et au financement d’entreprises ainsi qu’en promotion de programmes en entrepreneuriat. Elle a d’ailleurs mis sur pied des initiatives concrètes comme le média web Mots d’Elles, premier en son genre au Québec, pour faire rayonner les femmes en affaires; Atelier Coloré, studio de création mode et design; Marché Coloré, magasin-concept éphémère qui réunit des créateurs et des artisans passionnés d’imprimés et qui est cofondé par BiAS, un groupe de réflexion culturel et artistique, dont la mission est de faire rayonner des talents de la diversité.
Membre de TEDx, Déborah Cherenfant est une conférencière, une formatrice et une animatrice hors pair; son expertise est souvent sollicitée au sein de la communauté d’affaires pour parler d’entrepreneuriat, de leadership féminin ainsi que de la représentation de la diversité en affaires. Elle fait d’ailleurs partie des conférencières de Plurielles, la première agence pour la prise de parole au féminin.
Déléguée du Canada au G20 des jeunes entrepreneurs en 2015, Déborah Cherenfant a reçu de nombreuses distinctions, notamment le prix Femme de mérite dans la catégorie entrepreneuriat du Y des femmes de Montréal (2016), et elle a fait partie en 2019 des 12 lauréates choisies pour illustrer le Mois de l’histoire des Noirs, en raison de leur contribution à l’avancement de notre société.
Déborah Cherenfant est présidente et porte-parole pour 2020-2021 de la Jeune Chambre de commerce de Montréal.
Lise Courteau est une femme engagée auprès de sa communauté. Depuis plus de 30 ans, elle est membre de l’organisation locale de l’Afeas (Association féministe d’éducation et d’action sociale), où elle y a occupé plusieurs postes, dont celui de conseillère et de secrétaire. Depuis novembre 2020, elle est présidente de l’organisation provinciale de l’Afeas.
Dès 2002, elle prend part au conseil d’administration du palier régional de l’Afeas. Au fil des ans, elle a occupé diverses fonctions dont celle d’agente de liaison, de conseillère, de vice-présidente et de présidente. Puis, depuis 2018, elle agit comme administratrice régionale déléguée au conseil d’administration provincial. Toujours en 2018 elle est élue première vice-présidente provinciale.
Lise Courteau assume également la responsabilité de la publication du bulletin régional L’Élan, quatre fois par année. Elle est aussi rédactrice et responsable de la revue provinciale Femmes d’ici, publiée quatre fois par année.
À titre de formatrice accréditée par l’Afeas provinciale, Lise Courteau donne des formations et des ateliers d’éducation populaire aux Afeas locales. Elle est en outre responsable du comité des résolutions du palier provincial. Elle s’investit dans plusieurs autres comités provinciaux, dont le comité de gestion des risques, le comité Promotion – Éducation – culture – action, le comité Communications et Relations publiques et le comité Intergénérationnel.
Femme de conviction, elle apporte sa contribution pour mieux faire avancer les choses et poursuivre le travail des pionnières dans l’atteinte de l’égalité femmes hommes. Elle a particulièrement à cœur les besoins des jeunes femmes.
Jeannine Messier est agricultrice et entrepreneure en Montérégie depuis plus de 30 ans. Pendant 28 ans, elle a géré l’entreprise familiale comprenant une exploitation porcine et de grandes cultures avant d’acquérir sa propre ferme à Saint-Pie, la ferme Équinoxe. Elle y a tenu une table champêtre pendant 10 ans. Depuis 2020, l’entreprise a revu son offre de service et a ajouté la production acéricole et la transformation de produits.
Jeannine Messier est diplômée de l’École de cuisine Jacques Rousseau. La cheffe propriétaire produit sur place 50 % de ce qui compose les plats cuisinés offerts en boutique et le complète en mettant en valeur les produits locaux.
Elle est nommée agricultrice de l’année en 2004 et obtient par la suite les titres de chevalière et d’officière de l’Ordre national du mérite agricole du Québec. En 2017, elle est élue présidente des Agricultrices du Québec. Elle siège au conseil général de l’Union des producteurs agricoles depuis 2017 et au conseil d’administration de l’Union des producteurs agricoles Développement international depuis 2019. Elle a d’ailleurs participé à deux missions en Afrique de l’Ouest, soit au Bénin et au Sénégal.
Jessica Olivier-Nault est directrice du Service de l’action féministe et de l’équité salariale à la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) qui regroupe plus de 600 000 membres répartis dans tous les secteurs d’activités, publics, parapublics et privés, et dont plus du tiers sont des femmes. Elle travaille notamment au développement et à la mise en application des politiques en matière d’accès à l’égalité et représente la centrale sur divers comités et diverses instances réglementaires.
En tant que féministe, militante et intellectuelle engagée, elle s’implique activement dans les dossiers concernant l’avancement des conditions de vie et de travail des femmes ainsi que dans la mise en œuvre de stratégies qui permettent de diffuser l’action féministe et de l’articuler à la prise en compte de la diversité. Elle siège notamment sur le conseil d’administration du Conseil de gestion de l’assurance parentale, le comité consultatif femmes en développement de la main-d’œuvre de la Commission des partenaires du marché du travail, le comité-conseil relatif aux secteurs de l’équité salariale et des normes du travail de la CNESST en plus de s’impliquer dans divers organismes communautaires.
Politologue de formation, elle a fait ses études de premier cycle en science politique à l’Université du Québec à Montréal (UQÀM), à la suite de quoi elle a obtenu un Certificat d’études politiques à l’Institut d’Études Politiques d’Aix-en-Provence, une maîtrise à l’UQÀM ainsi qu’une scolarité doctorale à l’École d’études politiques de l’Université d’Ottawa. Elle a été boursière du Fonds de recherche Société et culture et du Conseil de recherche en sciences humaines où elle a notamment obtenu la bourse d’études supérieures du Canada Joseph-Armand-Bombardier. Avant de se joindre à la FTQ, Jessica Olivier-Nault a effectué divers mandats de recherche en milieu universitaire, de même qu’au Conseil provincial des affaires sociales du Syndicat canadien de la fonction publique. Elle a notamment travaillé sur des enjeux liés à transformation des réalités urbaines contemporaines, au droit à la ville, à l’innovation sociale et à la santé publique.
Professeure titulaire à l’UQAR, campus de Lévis, professeure associée à l’Université Catholique de l’Ouest d’Angers en France et chercheure associée au Centre de transfert pour la réussite éducative du Québec (CTREQ), Rakia Laroui est diplômée de l’Université Laval et titulaire d’un doctorat en sciences de l’éducation. Elle possède une vaste expérience en recherche et en enseignement universitaires aussi bien au Québec qu’en France et qu’au Maroc.
Femme engagée, Rakia Laroui s’emploie depuis plusieurs années à améliorer les conditions de vie des femmes d’ici et d’ailleurs en prônant l’égalité des chances, l’éducation égalitaire et le dialogue des cultures. Elle est également l’auteure de plusieurs écrits et conférences scientifiques. Invitée dans diverses institutions universitaires (Maghreb, Europe et Amérique), elle est reconnue comme professeure internationale. Elle a siégé au conseil d’administration ainsi qu’au comité exécutif de l’UQAR et a présidé le conseil d’administration de l’organisme Accueil et Intégration Bas-Saint-Laurent. Rakia Laroui dirige le Comité de programmes des cycles supérieurs en éducation à l’UQAR ainsi qu’un réseau de recherche et de transfert en Littératie. Elle est membre du comité scientifique de Voix plurielles et de Revue canadienne de l’éducation. En 2013, elle a obtenu la distinction Femme de carrière du gala Femmes arabes du Québec pour sa brillante carrière, et fut nommée chevalière de l’Ordre national du Québec en 2016. En 2017, elle obtient un certificat de reconnaissance du Forum des Compétences Canado-Marocaines. En 2020, elle a une distinction de l’assemblée nationale du Québec pour son engagement et en 2022, l’université de Sherbrooke la choisit comme ambassadrice de l’excellence en éducation.
Psychoéducatrice et professeure titulaire au Département de psychoéducation de l’Université de Sherbrooke, Geneviève Paquette, Ph. D., est aussi directrice scientifique du Groupe de recherche et d’intervention sur les adaptations sociales de l’enfance (GRISE). Elle est de plus chercheuse au Centre de recherche interdisciplinaire sur les problèmes conjugaux et les agressions sexuelles de même qu’à la Chaire de recherche sur les violences sexistes et sexuelles en milieu d’enseignement supérieur. Ses travaux de recherche portent non seulement sur les besoins de différentes populations à risque ou victimes de violence – particulièrement de violence sexuelle – comprenant les enfants qui présentent des incapacités, les adolescentes, les femmes et les personnes issues des minorités sexuelles et de genre, mais aussi sur les interventions qui sont offertes et leurs conséquences. Geneviève Paquette a, notamment, piloté l’Enquête sur la sexualité, la sécurité et les interactions en milieu universitaire (ESSIMU) en 2016 pour ce qui est du volet Université de Sherbrooke. En novembre 2017, elle a agi à titre d’experte mandatée pour représenter le collectif d’auteures de cette vaste enquête lors des consultations et des auditions publiques sur le projet de loi qui a mené à la Loi visant à prévenir et à combattre les violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur. De 2018 à 2019, elle a pris part au comité de développement de la Politique visant à prévenir et à combattre les violences à caractère sexuel de l’Université de Sherbrooke. Elle a reçu le Mérite estrien pour son implication dans le domaine de la violence sexuelle. On lui doit la publication de nombreux articles et ouvrages dans son champ disciplinaire, dont l’ouvrage collectif Approche systémique appliquée à la psychoéducation : L’individu dans son environnement, qui a remporté le prix Publication – Recherche de l’Ordre des psychoéducateurs et des psychoéducatrices du Québec en 2018. Elle est aussi interpellée très fréquemment par les médias et sollicitée à titre de conférencière invitée au sein de la Francophonie pour son expertise en violence sexuelle. Geneviève Paquette / GRISE
Femme d’affaires engagée, avocate et détentrice d’une maîtrise en administration des affaires, Julie Bédard a occupé des postes d’importance dans le domaine financier avant de devenir la première femme, en 209 ans d’histoire, à occuper le poste de présidente et cheffe de la direction de la Chambre de commerce et d’industrie de Québec. Elle a ensuite assuré la présidence du Réseau Medicart dans le déploiement de sa stratégie de croissance par acquisitions avant d’assumer son rôle d’entrepreneure et de cheffe d’entreprise.
Entrepreneure dans l’âme et investisseuse depuis 2017, elle est présidente de Synergie immobilière et partenaire de Graphsynergie et de RealVuu, une plateforme technologique dédiée au secteur immobilier. Elle a d’ailleurs repris un rôle actif dans ces entreprises afin de soutenir leur plan de croissance accélérée et la mise en place de leur plan de relève.
Considérant son intérêt marqué pour la gouvernance, elle a lancé de nombreux programmes de développement qui lui ont permis d’accompagner des dizaines de jeunes cadres et entrepreneur(e)s. Elle siège également sur différents comités consultatifs afin de mettre son expérience au service des entrepreneur(e)s. Elle est membre du conseil d’administration d’Entrepreneuriat Laval et membre du conseil d’avancement de la Faculté d’administration de l’Université Laval.
Engagée dans sa communauté et particulièrement active auprès des femmes, Julie Bédard est la cofondatrice du programme Leadership au féminin. Elle a contribué au déploiement de l’Effet A sur Québec en tant que leader, elle est ambassadrice de la YWCA de Québec, leader de Fillactive et membre du Conseil du statut de la femme. Elle a d’ailleurs remporté, en 2020, le prix Leadership femme d’exception décerné lors du concours national Les Mercuriades.
Au-delà de son parcours inspirant, Julie Bédard se distingue par sa personnalité engageante, dynamique et mobilisatrice ainsi que par sa vision avant-gardiste des modèles d’affaires. Elle épouse de nombreuses causes depuis plus de 25 ans telles que le Cercle finance du Québec, Les Violons du Roy, Les Grands Ballets Canadiens de Montréal, l’Orchestre symphonique de Québec, la Régie régionale de la santé, l’Association des jeunes juristes de Québec, le Regroupement des jeunes chambres de commerce et la Fédération des chambres de commerce du Québec.
Andréan Gagné est une spécialiste des communications et gestionnaire cumulant 15 ans d’expérience. Elle se démarque particulièrement en affaires publiques, positionnement stratégique et gestion d’enjeux. Elle œuvre présentement dans le secteur du transport aérien et du voyage. Elle a précédemment été consultante au sein de firmes de renommée internationale.
Andréan est une stratège aguerrie en matière de relations avec les parties prenantes, dans le but de positionner et faire rayonner les intérêts des organisations qu’elle représente.
En plus de ses activités professionnelles, Andréan s’est toujours activement impliquée auprès de sa communauté. Elle cumule plusieurs implications de bénévolat et de gouvernance. Elle a siégé sur de nombreux comités consultatifs et conseils d’administration, dont le Regroupement des jeunes chambres de commerce du Québec à titre de présidente du conseil d’administration (2014-2018); l’organisme Famijeunes en tant que secrétaire (2018-2021); ainsi que le comité exécutif du chapitre de Montréal de Jeunes Canadiens en finance (2014-2019). Elle a de plus été conseillère stratégique du groupe la Relève en famille en affaires et membre du conseil d’administration du Groupe Connexions Montréal.
Andréan Gagné détient une maîtrise en administration, concentration gestion du développement durable, de l’Université de Sherbrooke et de l’École supérieure de commerce et de management de Tours en France (ESCEM). Elle est également diplômée du baccalauréat en communications et relations publiques de l’Université du Québec à Montréal.
En plus des dix membres votantes, participent aussi aux séances du Conseil les membres représentant de ministères et organismes, soit les sous-ministres ou leurs déléguées. Ces membres d’office n’ont toutefois pas droit de vote.